En 2023, la persistance d’une inflation élevée, la volatilité dans le secteur bancaire mondial et la poursuite des conflits géopolitiques restent des thèmes clés pour de nombreux investisseurs. Dans ce contexte, les actions cotées se sont étonnamment bien comportées et les marchés voient enfin des signes de désinflation avec la faiblesse des prix dans l’ensemble des matières premières, une plus grande visibilité sur les pics de taux et la contagion des récentes faillites bancaires semble maîtrisée.
Les économies se sont bien portées au premier trimestre de l’année et se sont mieux comportées que prévu. Les données initiales ont montré que la zone euro a renoué avec une croissance modeste, de 0,1 % en glissement trimestriel, après avoir stagné au T4 2022, tandis que la croissance des États-Unis a ralenti à 1,1 % en glissement trimestriel à un rythme annualisé. La plupart des économies avancées devraient connaître une baisse de la production au cours du ralentissement, qui a débuté à la mi-2022. La croissance du PIB de la région APAC devrait s’accélérer, passant de 3,1 % au T4 2022 à 4,2 % au T1 2023, selon UBS Investment Bank. Toutefois, la forte croissance de base dissimule la faible performance que plusieurs pays ont affichée jusqu’à présent.
Nous avons exploré le lien entre durabilité et technologie dans l’immobilier. Responsable d’environ 40 %1 des émissions mondiales de carbone liées à l’énergie, l’immobilier fait face à une réglementation renforcée et à des normes en constante évolution à respecter, avec environ 600 systèmes de certification des bâtiments verts dans le monde entier. En conséquence, l’accent est mis sur la conformité des bâtiments avec ces certifications et d’autres normes réglementaires.
Nous nous sommes concentrés sur le volet social de l’immobilier en sciences de la vie. Il s’agit notamment de la possibilité pour les établissements de sciences de la vie de réduire considérablement les coûts des biens pour les occupants, de transmettre des économies aux utilisateurs finaux et aux patients, et de rendre les thérapies nouvelles et curatives plus abordables sur le marché, et de soutenir leur viabilité, entre autres facteurs.
Dans les infrastructures, nous avons exploré des tendances séculaires telles que la décarbonation, la numérisation et l’évolution démographique, qui ajoutent tous un élément de « croissance » intéressant à une classe d’actifs déjà relativement stable. Toutefois, nous commençons à observer une plus grande divergence de performance entre les différents actifs et stratégies d’infrastructure. Les investisseurs doivent se rappeler que toutes les infrastructures ne sont pas créées égales.
Le capital-investissement (le marché des rachats à effet de levier) a été confronté à des difficultés l’année dernière, dans le sillage des actions publiques. Les investissements existants ont connu une année de croissance perdue et les rendements estimés pour 2022 sont négatifs. Nous pensons que cette tendance ne devrait pas se répéter, à condition qu’aucune récession économique grave ne se produise ou qu’une correction des marchés publics ne se reproduise comme en 2022.
En savoir plus sur l’immobilier, les infrastructures, l’alimentation et l’agriculture, le capital- investissement et le crédit privé dans notre dernier IPM.
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